Olad Baba


A travers sa 2eme collection la société Olad Baba, met a la portée de votre main tout un savoir faire d'artisans et de stylistes talentueux.

Olad Baba
Tendances Beldi
Quand le raffinement épouse la sensualité

Rahma - Special robes d’interieures


Rahma - Spécial robes d’intérieures

Fashion Week Tunis 2011


Fashion Week Tunis 2011Official Best Of
The First Arab Post-Revolution Fashion Week
Free and Beautiful - Libre et Belle



Femmes terguis - Zerbia et couture




XELA : TV Show in Dubai




xelafashion.wordpress.com

L'aiguille d'or N02 arabic


الابرة الذهبية

Rima Creation - Cols (crochet d'art)


Rima Création - Les cols
Collerette et plastron

Ryma Maison N2 Ete 2003


Ryma Maison Numéro 2
Été 2003

Negafa Touria


Le prestige, le luxe et le professionalisme sont les caractéristiques qui distinguent un mariage haut de gamme d'un mariage banal. C'est pour cette raison que negafa Touria est là pour vous offrir cette touche de magie que vous recherchez.

El Haik


Cette étoffe, symbole de pudeur et de noblesse, tenait et tient toujours une grande place dans notre société. Ce vêtement se porte de différentes façons selon les régions et se caractérise par une grande sobriété, à la différence des vêtements portés pour les fêtes à l'intérieur d'une grande richesse (karakou, blouza, fergani ou encore la chedda).

In : www.dziriya.net

New Look




Houria N25 - Robes d’interieur


28 modèles a découvrir

مكياج خبيرة التجميل زلفة البرواني


مكياج خبيرة التجميل زلفة البرواني من مركز الليلك للتجميل



Miss Alger 2001


Jolie et charmante, c'est le moins que l'on puisse dire de Mlle Assia Aurari, 19 ans, sacrée miss Alger 2001 au concours organisé, dernièrement, par l'Association culturelle l'Etoile filante. Le choix, n'était pas facile pour le jury car la beauté, ce jour-là, était ce qui manquait le moins (Les Algériennes sont belles !)

Le casting des prétendants à la couronne de " la plus belle fille d'Alger " avait commencé un mois avant la finale, après des annonces à la radio.

Finalement, après étude des dossiers et conformément aux critères de sélection, 28 jeunes filles âgées entre 15 et 23 ans, avaient été retenues pour concourir le jour " J " (le 3 mai 2001). Ces critères basses, notamment, sur le niveau intellectuel, la taille, la démarche et aussi, ce qui est nouveau, sur le type de " beauté algéroise ", le fameux charme bien de chez nous.

De délicieux frissons parcoururent l'assistance à la salle Ibn-Zeydoun lorsque les créatures de rêve se sont mises à défiler en robes de soirée très moulantes.

Le temps de céder la scène, momentanément, au groupe de flamenco Mediterráneo, et c'est le deuxième passage des filles issues d'une première sélection et habillées de prêt-à-porter. Parmi ces 20 concurrentes 10 sont encore retenues. Elles défileront encore une fois en robe de coupe moderne sous l'oeil attentif des membres du jury.

Rima Loisirs - Les perles 1


Rima Loisirs - Les perles 1

بوتيك المصممة نادين زعني




Karakou bleu-argente



Karakou bleu-argente.jpg

Ryma N04 2005


Ryma N04 2005
Tenues baptêmes

Robe kabyle (planche N14)


Robe kabyle (planche N14)

Fashion is My Religion




A propos de l'Algerienne reduite en esclavage en Arabie Saoudite


Deux mois après la publication du calvaire de Baya, une jeune Algérienne exploitée en Arabie Saoudite, l'institut de beauté qui l'employait, l'Or de Lys, réagit pour accuser Baya d'être sous-qualifiée.

" C'est sur insistance d'autres employées de l'institut de nationalité algérienne et qui, touchées dans leur dignité par les assertions malveillantes contenues dans cet article, souhaitent le rétablissement de la vérité (...) », écrit la direction de cet institut que la jeune Algérienne a accusé de mauvais traitements et de l'avoir pratiquement réduite à l'esclavage. La direction de cet institut mis en cause par le témoignage cru de Baya estime que cette dernière « a signé à Alger un contrat de travail, en qualité de professeur d'aérobic, en prétendant sur son C.V. être diplômée d'aérobic et de natation. Ce contrat lui a été envoyé d'Arabie Saoudite par une secrétaire de notre institut, qui est algérienne, et qui préalablement l'avait questionnée sur ses références et diplômes ». l'institut en veut pour preuve que « Baya n'avait aucune éducation sportive et que ses diplômes étaient fantaisistes; ceci d'ailleurs grâce à d'autres de ses compatriotes qui, elles, ont de vrais diplômes » avant de poursuivre que Baya a refusé l'éventualité de revenir en Algérie et que l'institut lui proposa un poste de secrétaire à la réception contre un salaire de 2 000 saudi riyals par mois et un nouveau contrat. Qualifiée « d'aigrie » à cause de son témoignage, Baya est pourfendue par son ancienne employeuse qui oppose les autres Algériennes demeurées à Djeddah : « Pour notre part, nous faisons la part des choses et nous maintenons notre confiance à toutes ces Algériennes qui travaillent dans notre centre et aux autres, nombreuses, qui postulent à ce poste ».

S'agissant de la personne qui a recruté Baya, en l'occurrence Wahiba, la direction de l'institut stipule que cette dernière a travaillé honnêtement pendant plusieurs années dans notre centre comme coiffeuse et c'est grâce à ses économies laborieusement acquises qu'elle a pu ouvrir un salon de coiffure et s'offrir un logement à Alger, après son retour ». Baya avait accusé cette propriétaire d'un salon de coiffure d'organiser des déplacements vers l'Arabie Saoudite dans le cadre de réseaux de recrutement qui ciblent des femmes algériennes, de préférence « jolies et grandes de taille » pour des emplois qui s'avèrent fictifs au royaume wahhabite.

Mais dans cette réponse de l'Or de Lys, luxueux institut de beauté de Djeddah, dont la propriétaire est l'épouse d'un prince cousin de la famille royale, la direction omet de parler du fond du témoignage de la jeune Algérienne qui a d'abord et surtout dénoncé le traitement dégradant et humiliant qu'on lui a fait subir durant ces deux mois de quasi captivité. La configuration du passeport de Baya, qui n'a été récupéré qu'un mois après son évasion de l'institut, par le consul algérien de Djeddah après d'âpres négociations avec la propriétaire du centre, témoigne des méthodes peu communes de l'Or de Lys.

Aucune réponse n'est apportée au rationnement alimentaire, au refus des soins médicaux, aux conditions d'hébergement insalubres, aux insultes, vexations, coups et autres humiliations qu'à subis Baya durant ce séjour carcéral. Contactée, la jeune Algérienne persiste et signe et se dit même prête à être confrontée à ses anciennes employeuses : « J'ai apporté ce témoignage par acquit de conscience. J'aurais pu me taire car j'étais déjà tellement heureuse de rentrer en Algérie mais j'ai d'abord pensé aux Algériennes restées là-bas. Je ne déteste personne et je n'ai pas de rancune personnelle et je connais trop bien les pratiques de cet institut pour savoir que les Algériennes y travaillant ne sont pas libres et sont traitées comme du bétail.

La majorité n'osent pas parler car elles ne peuvent pas rentrer en Algérie du moment qu'on leur a retiré leurs passeports et sont vulnérables.

D'autres filles, et je les comprends, ont des familles dans le besoin et continuent à travailler. Pour ma part, je ne changerais rien à mon témoignage sur ce sujet car c'est la stricte vérité. Je paie encore ce séjour et il m'arrive de voir un psy car je n'arrive pas à me remettre psychologiquement de cette histoire », dira-t-elle.

Le Quotidien d'Oran Dimanche 26 septembre 2004

Ryma N03 - Special couvre-lit et draps


Ryma Numéro 03
Spécial couvre-lit et draps

Ziana Zahia




Exposition sur l'artisanat feminin (Bastion 23 2004)



Retour aux sources

« LE BUT de cette exposition, est de sortir l'artisanat et la culture algérienne de sa léthargie ».

par Tahar Fattani

Un groupe de femmes venues des montagnes de la Kabylie et du Sahara, a organisé, en collaboration avec des femmes bénévoles algéroises la semaine dernière au Musée du Bastion 23, une exposition sur l'artisanat féminin, à l'occasion de la Journée internationale de la femme.

Cet événement est une occasion pour la gent féminine de contribuer à la préservation de notre culture et à la promotion de l'artisanat algérien. Car, il ne s'agit pas d'une exposition quelconque, mais d'une production inspirée des différents contrastes et des teintes du paysage culturel algérien.

En effet, des vêtements pour adultes et enfants, des couvre-lits et autres châles tissés et brodés portent une multitude de signes berbères, qui recèlent mille et une significations ensevelies dans l'oubli.


Ce qui a nécessité un long travail de recherche dans notre histoire ancestrale par ces femmes créatrices. « Nous voulons, à travers cette exposition, faire sortir notre culture des bras de Morphée, et dire aux jeunes générations et aux générations futures, qu'il y a encore des gens inspirés par cette culture », nous a déclaré Mme Larbaoui Fatima, membre fondatrice d'une coopérative de l'artisanat de Touggourt, venue présenter sa production lors de cette exposition, avant d'ajouter : « Nous avons effectué un travail de recherche dans les annales sur les motifs utilisés par les berbères.» Sachant bien que le Sahara a toujours été habité par les berbères, comme le témoigne la présence de la reine berbère la Kahina à Timacin, chez les Awrigha (une tribu berbère du Sahara), au vu des solides liens qui unissaient les deux tribus. Comme il a été, aussi, en butte à la conquête par d'autres civilisations.

Outre son aspect culturel, l'exposition a été une occasion pour la femme saharienne de faire connaître sa production, et de réhabiliter le produit rural dans le paysage culturel algérien, à travers la présence de la coopérative El-Assala de Oued Rhir de Touggourt.

Cette coopérative de production est aussi un centre de formation de l'artisanat et de broderie, qui contient une centaine de filles stagiaires encadrées par des spécialistes du métier. « La production présentée dans cette exposition est conçue entièrement par les mains de nos stagiaires », nous a-t-on déclaré.

Par ailleurs, les femmes kabyles ont marqué leur présence dans cette exposition via la coopérative d'Ighil Ali de Béjaïa, qui a exposé une production de corbeilles réalisées à partir de l'alpha et du raphia et portant des motifs qui reflètent la vie des anciens berbères, comme le losange, un signe porte-bonheur chez les femmes berbères, ainsi que le serpent qui signifie l'ennemi. De son côté, l'artisanat algérois était au rendez-vous dans cette exposition, avec la participation d'une coopérative réunissant les artisans en vannerie d'Hydra et ceux de Touggourt (le tissage de guirroumat) spécialisés dans le tissage des tapis, des couvertures des burnous, et autres habits. Cette coopérative a réuni tous les genres de tapis en Algérie, tels que les tapis d'Ouchème, Oudhia, Ait Hicham, du Sud et de Guerrouma.

Ces femmes créatrices, en matière de tapisserie algérienne souhaitent susciter, à chaque instant, un retour aux sources à travers les motifs créés.

« La tapisserie algérienne relate un voyage à travers le temps en évoquant les perpétuelles épopées de l'homme », estime une créatrice. En outre, cette exposition a permis à la jeune génération de trouver ses repères historiques enterrés. « Je trouve qu'il faut saluer et encourager ce genre d'exposition qui nous a permis de connaître mieux notre histoire et notre culture », dira un groupe de femmes. Les organisatrices n'ont pas caché leur satisfaction d'avoir réalisé cette exposition, qui a été, selon elles, très bénéfique sur plusieurs plans.

Comme elles ont salué tout le personnel du Musée Bastion 23 pour l'aide et l'intérêt qu'il a accordés à cette exposition. « Je tiens, au passage, à saluer tout le personnel du Musée qui nous a beaucoup aidées dans la réussite de cette exposition.»

T. F.

L'Expression dimanche 14  mars 2004


Anfal N01 Mai 2007



Anfal Numéro
01 Mai 2007

Recham Chemise jaune


Recham Chemise jaune (miniature).jpg

عابد محفوظ شتاء ٢٠١٠ ٢٠١١




www.abedmahfouz.com

Chahinez N06 - Robes d'interieur



Chahinez Numéro 06 - Robes d’intérieur
30 modèles a découvrir

Samira Maison N02


Samira Maison Numéro 02
Des créations exclusives pour embellir votre intérieur.

Anfal N06 2008 - Special couvre-lits et draps


Anfal Numéro 06 2008
Spécial couvre-lits et draps

Yasmine Ferhani presente Amor Guellil Collection 2011-2012


Yasmine Ferhani et Algiers Top Model Academy (A.T.M..A) présentent la collection de 2011-2012 du jeune créateur styliste Amor Guellil.



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